Historique de la Place DUPUY

Quand notre Secrétaire général m’a sollicité pour une communication à notre Académie, je réfléchissais au commentaire, à rédiger, de la carte postale de la place Dupuy. Je lui ai donc proposé de la choisir comme thème.

Historique de la place Dupuy.

par Serge LEMAIRE (30ème fauteuil)

Communication du 27 juin 2023

Situation.

La place, située hors les murs, au-delà du glacis des remparts, face à la porte antique Saint-Etienne, est une des plus anciennes place de Toulouse.
Le rempart gallo-romain de Toulouse date de l’an 10, premier siècle de notre ère chrétienne, sous le règne de l’empereur Auguste.
Cet excellent emplacement, à l’entrée du « Décumanusmaximus » de Toulouse antique, appelait son développement, que l’histoire de notre ville ne fera que renforcer.
Ce décumanus traçait droit vers la Garonne, soit sensiblement aujourd’hui : place Saint Etienne, rue Croix Baragnon, place Rouaix, rue de la Trinité, rue des Marchands, descente de la Halle aux Poissons et pont-aqueduc pour atteindre la rive gauche du fleuve que les Toulousains donnaient comme frontière du pays gascon !
La place est donc le point de départ vers le pays castrais et  le sud du Massif Central. Elle est aussi l’ouverture, traversée La Garonne, vers le pays gascon et l’Aquitaine.
Elle se situe au pied de la colline du Calvinet, (quartier de Guilheméry), riche en sources, elle reste également liée à la vie de la cathédrale Saint-Etienne, ainsi qu’à l’histoire de l’approvisionnement en eau du griffoul de Saint-Etienne.
L’est de Toulouse, de La Terrasse au sud, à Jolimont au nord, est barré par une colline élevée, aux pentes abruptes, très riche en sources attestées par les vocables griffoul ou griffoulette !
Après la destruction du pont-aqueduc gallo-romain fin quatrième siècle, Toulouse va cruellement manquer d’eau potable.
La ville n’a plus les ressources nécessaires pour reconstruire l’aqueduc. Elle va se contenter de lancer un pont de bois posé sur les anciennes piles de brique, pont qui sera régulièrement emporté par les crues du fleuve. C’était le « pont vieux ».
Toulouse doit aussi, c’est une priorité, édifier le rempart ouest sur le Garonne. Elle y consacre tous ses moyens. En effet, les « grandes invasions » fin 4ème siècle, menacent.
Les toulousains, sous les rois Wisigoths,  (5ème siècle) s’approvisionnent en eau grâce aux  puits et vont, cependant encore, essayer de capter les sources les plus proches de la ville, à l’est et au sud.
Les 3 siècles qui suivent la conquête franque, Vouillé 507, Clovis entre à Toulouse en 508, seront difficiles à tous points de vue : sociétal, politique, économique.
A partir du 9ème siècle et surtout sous les comtes de la dynastie Raimondine, 10ème siècle, Toulouse va retrouver une importance économique et stratégique de plus en plus marquée.
La quête de l’eau va se poursuivre comme une obsédante idée fixe ; puits déjà cités, mais la nappe phréatique est très polluée, essais de filtrage des eaux du fleuve, captages de sources des collines du Calvinet ou de Pech David…
L’église puis cathédrale Saint-Etienne se développe dès le 9ème siècle, sa vie, ses chanoines ont besoin d’eau… Cette eau descend du Calvinet, passe par la place Dupuy et aboutit au griffoul de Saint-Etienne.
C’est Pépin le Bref qui a autorisé et financé la construction de la première église Saint Etienne qui se transformera en cathédrale dès le 10ème siècle.
Fin Moyen-âge et début Renaissance., à la charnière des 15ème et 16ème siècles, nos connaissances s’affirment grâce au grand historien toulousain Guillaume Catel, (1560 – 1626) qui s’avère une précieuse source d’informations :
Il nous parle de « la fontaine qui n’est plus, » : le “ Grifol de Sant-Salvador ”, ou (autre graphie) “ Griffoul de Sant-Salvadou ”.
Guillaume Catel situe la fontaine, par référence à la petite église Saint-Sauveur.
Je cite : «  …bien près de sainct-Sauveur, aux fauxbourgs de sainct-Etienne … un ancien aqueduc qui estoit dans la terre … comme un simple canal en forme d’une caysse … » , ce qui était l’alimentation de cette fontaine.
Il est intéressant de constater que Catel ne donne pas de nom à la place.
Il faudra attendre « l’Ancien Régime » pour qu’elle soit baptisée.
Les historiens nomment – ancien régime – le période de royauté absolue qui court de la Renaissance à la Révolution., de François 1er à Louis XVI.
Elle s’appelle alors « Place Dauphine ». La Révolution la nomme « Place Riquet », la Monarchie de Juillet (Règne de Louis-Philippe 1er), lui donne son nom définitif de « Place Dupuy ».
Le premier acte connu qui en fait mention date de 1433. Les Capitouls ont demandé aux chanoines de la cathédrale et à leur prévôt*, monseigneur Bernard de Roziers: «  … fegon far la reparaciondelgriffoul de Sant Estienne, … curar las vadas et potzésdevre Sant Salvador … »
L’eau de la fontaine est captée à Guilheméry, au milieu du parc actuel du domaine du Caousou. Au cours des siècles, (Moyen-Âge, Renaissance), Toulouse découvrira et redécouvrira l’aqueduc d’amenée des eaux du griffoul. A chaque fois ce sera l’occasion de s’émerveiller!… En effet, la canalisation a été plusieurs fois perdue, ou détruite, car elle s’envase très vite et s’obstrue, mais aussi parce qu’en période de troubles, sa sécurité n’est plus assurée. C’est le cas, en 1356, au début de la Guerre de Cent ans, quand le Prince Noir et ses hordes de mercenaires, viennent ravager les faubourgs.
Les troubadours qui réunissaient les poètes, le 3 mai, sont ainsi chassés du « verger des Augustines ». les Capitouls vont alors les accueillir, salle des Illustres, pour 5 siècles.
*1433, les archives de la ville nous apprennent qu’il fut l’objet de l’admiration de tous, «  … que tota la cieutat, las festas et les autrésjorsvenianvezéladitoreparacion, tant era de grande admiracion … ».
*1546, le système (les canalisations) réaménagé de nouveau par les capitouls, fait encore l’objet de la curiosité des habitants; Pierre de Naves dresse la voûte au-dessus du bassin de réception des eaux de Guilheméry, (parc du Caouzou).
Cette amenée des eaux du Caousoureste commune à l’alimentation de la place Dupuy, de la cathédrale et du griffoul de Saint-Etienne.
En 1546 encore, le 13 novembre, les 7 et 12 décembre, Nicolas Bachelier (le maître de la Renaissance toulousaine, ancien assistant de Michel-Ange, 15 ans), et Léon Clary reçoivent missions des Capitouls, afin d’expertiser les travaux de la porte de fer, (qui commande l’accès au captage et au bassin de réception des sources du Calvinet, (dans le parc du Caousou), ainsi que les aqueducs.
*1649. La fontaine ne coule presque plus, de grands travaux sont nécessaires. La curiosité générale ne se dément pas…
*1719..Les Capitouls ordonnent la visite des aqueducs sur toute leur étendue. Ils en font lever les plans, les exposent au public et réaction du bon peuple toulousain : « … succès considérable qui va jusqu’à l’enthousiasme… ».
La réparation s’élève à 35 000 livres. (soit 1 750 000 francs/2000 ou encore 270 000euros d’aujourd’hui). C’était pour vous montrer combien les problèmes de l’eau étaient prégnants dans la vie de nos concitoyens.
Sur la place elle-même, l’histoire s’enrichit.
*De Saint-Sauveur, je vous dirai simplement que son souvenir est resté dans le nom du port du canal très proche et aujourd’hui renommé.
On en sait peu de choses, l’archéologie n’a pas été très prolixe.
C’était, comme Saint-Pierre des Cuisines, une église d’origine paléochrétienne, donc très ancienne, entourée de son cimetière. Sous l’Ancien régime elle était placée sous la dépendance de l’archevêché, et confiée à un vicaire de la cathédrale qui en possédait la charge ; un curé assurait les offices.
Vendue à la Révolution elle a été détruite en 1794. Son cimetière a également disparu.
Sur son emplacement a été construite la Halle aux Grains, sans que soient réalisées les fouilles archéologiques préventives…
Mais revenons, plus précisément, à la place Dupuy, et à ses éléments remarquables : La Fontaine et la Halle.
 “ Un acte capitulaire ”,
« Le 1er août 1780, les capitouls décident qu’en avant de la vieille église Saint-Sauveur, seront édifiés une fontaine et un abreuvoir, alimentés par l’eau prélevée sur la conduite qui alimente le griffoul de Saint-Etienne.
L’ensemble, en pierres de taille de Carcassonne, sera constitué d’une grande vasque semi-sphérique sur un bassin hexagonal aux arêtes marquées de bornes coniques surmontées de coupoles. Au motif central, trois enfants sculptés, posés sur trois dauphins, crachent l’eau par la bouche (décision des capitouls du 30 août 1781). Ils sont coiffés par un jet central vertical et par 3 jets obliques, soit au total 7 jets. L’eau de la vasque s’écoule dans le bassin par six orifices ». Elle n’aura qu’une existence éphémère.
* le 15 juin 1782, la fontaine de la place Dauphine est officiellement consacrée. Des modifications lui seront apportées en 1817 et 1820; en 1827 elle reçoit l’eau de la Garonne.
* Elle sera démolie en 1832 pour laisser place à la fontaine actuelle.

Ses éléments remarquables sont relégués au musée des Augustins,
Louis Vié, en 1924, l’a retrouvée; le groupe sculpté est répertorié au catalogue sous le n° 871. Il a vu la vasque au milieu du petit cloître, à quelques pas des tritons…

  1833,     La fontaine« DUPUY »

D’abord prévue sur la place Saint-Georges (1829), elle remplaça en 1833 le Griffoul de Sant-Salvadou.
En 1840, J.M. Cayla et Cléobule Paul, dans “ Toulouse monumentale et pittoresque ”, décrivent la fontaine monument de Dupuy:
Je cite : « … un bassin circulaire de 25 pieds de diamètre (8,5 mètres); sur une marche en pierre commune, s’élève un piédestal en marbre qui porte une colonne en fonte, d’ordre dorique, cannelée, de 32 pieds de hauteur (10,50 mètres) et quatre pieds de diamètre. Cette pièce a été coulée dans les fonderies de Terre Noire près de Saint-Etienne, –… c’est une des plus belles sorties des fonderies du Royaume… —  Au-dessus du chapiteau de la colonne une partie sphérique en fonte, d’où s’élance une figure en bronze: — … c’est celle de La Victoire aux ailes déployées… — élevant et tenant de chaque main une couronne… Aux quatre angles, assis sur un socle, quatre griffons ailés lancent l’eau dans le bassin. La face (du socle) qui regarde Saint-Etienne est ornée d’un trophée de guerre, avec dans son milieu le buste de Dupuy. La face tournée vers La Halle aux Grains porte la dédicace. Douze bornes enchaînées entourent le monument et quatre d’elles fournissent l’eau… »
L’ensemble atteint 19,40 mètres de hauteur.
               Les hommes,
Urbain Vitry, ingénieur de la Ville a laissé une œuvre considérable :fontaine de la Trinité, façade du théâtre Sorano, arcades du Capitole, dessin de la place Wilson qui n’en sont que quelques exemples.
Il est l’auteur de cette fontaine monumentale où « … l’harmonie, la grâce et le bon goût se font remarquer… » Il a utilisé pour le socle, un marbre blanc de Saint-Béat.
Il s’est entouré, pour la réalisation, d’artistes toulousains connus:

          Layerle-Capel, marbrier,
          Olin-Chatelet, maître fondeur célèbre à Toulouse qui a moulé les griffons de fonte. On lui devait, par exemple, les candélabres de la place Royale, (place du Capitole),
          Griffoul-Dorval a sculpté ces griffons ainsi que le buste du général.
Griffoul, né et mort à Toulouse, 1788- 1861, était fils d’un comédien au nom de scène Dorval. En hommage à son père il a pris ce nom. Il a été l’élève de François Lucas à l’école des Arts, a poursuivi ses études à Paris, 1812- 1814, est devenu professeur pour subsister. En 1826 il a été nommé professeur à l’école des Arts de Toulouse. Sa production sculptée reste importante :
Au Capitole, l’on remarque nombre de ses bustes; on lui doit la statue de Pierre-Paul Riquet, dans un marbre prévu pour un Louis XIII; sa monumentale Mise au Tombeau s’admire aujourd’hui à Sainte-Marie des Anges.
Les toulousains appréciaient cette fontaine. Parlant du projet de ce monument, le maire Viguerie, assénait: “ … il offre la simplicité, la force, la durée qui doivent caractériser les trophées dédiés aux soldats morts en combattant pour la Patrie… ”
Le toulousain François Lucas est célébré au Capitole, salle des Illustres, dans ce remarquable tableau, où on le voit travailler, sous le regard de son mécène monseigneur Loménie de Brienne, à son grand sujet, « le bas-relief des ponts jumeaux », en marbre de carrare.
Les « écoles » de sculpture et de ferronnerie de Toulouse, aux 17ème, 18ème et 19ème siècles, étaient remarquables de qualité.
La municipalité soutenait activement les meilleurs de ses artistes, en leur octroyant des « bourses d’études », afin qu’ils se perfectionnent dans les grands ateliers parisiens.Au milieu du 19ème siècle, notre ville ne comptait pas moins de huit « grands Prix de Rome » de sculpture, tandis que les superbes grilles forgées de Joseph Bosc s’admirent aujourd’hui au Grand Rond. 
              Les griffons,
Animaux fabuleux que les 18ème et 19ème siècles toulousains semblent avoir appréciés; bec et ailes de l’aigle, poitrail et pattes antérieures du lion, queue à écailles de poisson, donnent à ce symbole la maîtrise des airs, de la terre et des eaux. Dans les civilisations chinoises anciennes, l’homme se donnait la puissance fabuleuse du griffon en lui sculptant un œil humain. Les toulousains se réservaient les mêmes bienfaits en lui dessinant une oreille de cheval.
Le griffon se retrouve dans l’art mobilier comme dans l’art immobilier, en frises, sculpté sur les portes (place de la Trinité), sur les balcons (Grande rue Saint Michel), les tympans d’armoires …, en pierre, en terre cuite, en fonte, en bois… Aucun des quartiers de Toulouse ne lui échappe.
Les frises, les reproductions, les sculptures, cariatides, atlantes, sortaient des célèbres ateliers Virebent, à Launaguet, qui n’ont fermé leur porte qu’en 1960.
Leur plus belle réalisation, sans aucun doute, les 12 cariatides de la rue des Marchands.
               La Renommée,
Les historiens disputent à propos de «  La Renommée » : — Jules de Lahondès affirme: «  … la Renommée de bronze … n’est autre que Dame Tholose qui couronnait depuis 1550 … la Tour des Archives … », que nous appelons le donjon et qui abrite le syndicat d’initiative. — Le docteur Arlet écrit: « … cette statue est l’œuvre de Nicolas Bachelier, elle symbolise … — la Renommée franchissant l’espace et distribuant des couronnes aux vainqueurs — … » — Jean Rocacher cite: «  … la Renommée de bronze, Dame Tholose, de Jean Raincy, fondue par Claude Peillot en 1550 … ».
En réalité, les trois hommes, artistes et maîtres en leur Art, se connaissent bien. Claude Peillot, fondeur, a travaillé avec Jean Raincy à la fontaine du Griffoul de Saint-Etienne. Jean Raincy, imagier, a dessiné la porte Henri IV du Capitole dont Nicolas Bachelier a commencé la réalisation. Imaginée par Jean Raincy, sculptée par Nicolas Bachelier, fondue par Claude Peillot, telle semble bien être la vérité historique de Dame Tholose.
               Le général DUPUY,
Dominique Dupuy, pendant La Révolution, était chef du Premier Bataillon des Volontaires de La Haute-Garonne. Il s’illustra durant les Guerres d’Italie, à Lonato, Arcole, Rivoli… Il suivit Bonaparte en Egypte où il fut tué le 21 octobre 1799, jour de la révolte Du Caire. Sa place, restaurée, rehaussée d’une Halle aux Grains rénovée, devenue l’un des hauts lieux de l’Art Lyrique, offrirait le plus joli coup d’œil, à condition d’échapper à la pollution des voitures automobiles. (c’était mon opinion, il y a 35 ans) ! 
               La Halle aux Grains.
La halle aux grains, enfin, est le dernier élément monumental de la place.
L’inauguration du canal du Midi, en mai 1681, a bouleversé les habitudes de ses riverains.
Le canal et un vecteur de communication de grande importance.
Il est aussi un facteur de richesse tout aussi important. Les experts affirment :
Le canal génère chaque année quelques 15000000 de livres que se partagent, en gros, en parts égales, le ROI, les héritiers de Riquet, et les retombées économiques pour les acteurs du canal.
15 millions de livres, représentent 1 milliard d’euros, Soit, pour chacun de 330 à 350 millions d’euros /an.
Le premier trait d’union se fait avec le Lauragais.
Le second, plus général, unit « les deux mers » et draine un important trafic. Je cite : « Des trains de péniches arrivaient chaque jour dans le port Saint Etienne»…
Toulouse représente un lieu essentiel, un nœud, une concentration.
Il faut des infrastructures.
Comme sur la Garonne, les ports du canal se multiplient : port de l’embouchure, port Saint-Sauveur, port Saint-Etienne…
Cela génère une intense activité, on décharge à la main… Une péniche offre la capacité de 40 wagons de chemin de fer.
Le port Saint-Etienne a été détruit en 1965, au nom de l’automobile et des voies sur berges…
Au milieu du 19ème siècle, l’activité intense du port a nécessité la construction de « La Halle aux Grains » et son emplacement, 1856.
Le bâtiment répondait à plusieurs fonctions : entrepôt, gestion commerciale, fixation des cours, administration…
C’est, sans doute, ce qui a défini son architecture.
Un hexagone central commode pour classer physiquement les denrées ; et des annexes, les avancées, ou les ailes, qui abritent les bureaux, confèrent au bâtiment un style original.
Construction soignée, élégante, symbole de richesse. Des lits de briques soutiennent les murs en galets de Garonne apparents. Le tout prend de faux airs d’architecture classique…
Le canal a subi la concurrence du rail puis de la route, vitesse contre lenteur…
La halle n’avait plus sa place, désaffectée dans la 1ère moitié du 20ème siècle, elle a alors connu des vies nouvelles !
Salle de concert, salle de sport (catch en particulier), salle de spectacle (par exemple le théâtre)…
Puis elle a été choisie et aménagée pour accueillir l’orchestre national de Toulouse, on s’en souvient. Je m’attendais à tout sauf à cela !
Cette excellente initiative et réussite représente un bel exemple de reconversion d’un bâtiment industriel.

Maintenant, je dois rédiger quelques lignes seulement pour illustrer la carte postale de la place Dupuy !
Je vais vous faire une confidence, je parlerai d’autre chose !…

Je vous remercie pour votre aimable attention.